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 Where the streets have no name || Brandee(chou)

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Clyde Sven Henderson

Clyde Sven Henderson

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MessageSujet: Where the streets have no name || Brandee(chou)   Where the streets have no name || Brandee(chou) EmptyVen 14 Aoû - 19:26

Un mal de crâne énorme. Et le bruit incessant de se téléphone qu’on enverrait bien par la fenêtre si au moins on savait où il était. Veine tentative pour lever la tête, seul les yeux suivent le mouvement, les led du réveil digital affichent 03h02. Un « putain » lâché dans le vide, quelqu’un qui marmonne a vos côtés… quelqu’un ? C’est quoi ce bordel… ah ouais, c’est vrai, fin de journée difficile, un client plus que chiant, encore un fils à papa qui voulait sa voiture prête avant toute les autres sous prétexte qu’il avait une virée importante a faire du côté de Vegas… ouais bah mon grand, tu vas devoir attendre. Un détour par le bar du coin, quelques verres, et cette fille. C’est quoi, son nom, déjà ? Jane… s’il se souvient bien. A bien y réfléchir, c’est sûrement pas ça… la fin de soirée est beaucoup plus floue. C’est ptete ce qui explique le mal de crâne… ouais, ça où les quelques joints qui étaient censé faire apprécié a Clyde sa soirée. Au moins, il aura eu le mérite de ne pas l’avoir vue passée. Ca aurait pu être la même chose pour sa nuit, si ce maudit téléphone ne c’était pas mis a sonné. Tant pis, il lirait le message… la jeune femme se tourne, il commence a se mouvoir de nouveau dans les bras de Morphée… jusqu’à ce que la sonnerie reprenne, et le tilt s’active dans sa tête. Et ouais Henderson… ce soir, c’est toi qui est de dépannage.

C’est même pas la peine pour lui d’espérer attraper le deuxième appel, ça servirait a rien. Il entend la jeune femme a côté de lui marmonner quelques mots alors qu’il se met assis sur le rebord du lit. Qu’Est-ce qui se passe ? « tu devrais rentrer ». Rien de plus, rien de moins. Pas d’à une prochaine fois, l’esprit bien trop embrumé encore. Ledit téléphone repend une troisième course contre la montre et cette fois, il décroche. « un problème a l’angle de la 46ème et de Kent Street. » Un petit problème… Clyde se jure que si cette foutue voiture n’est pas en feu, il tuera son proprio de ses propres mains. Mais en attendant, il assure être sur les lieux dans une petite demi heure. Sans allumer la lumière, il se dirige vers la salle de bain, et laisse couler le jet d’eau quelques seconde avant de se décider a s’engouffrer sous la douche. Il déteste ça. Aller dépanner des gens inconscients et souvent beurrés comme des ptit Lu qui se doutent pas un instant que ce qui est arrivé a leur petit bijou chéri aurait pu être bien plus grave si, par exemple, ils c’étaient mangés un mur… ou pire. Mais ça faisait parti du job, même la nuit. Avec les deux autres gars de son garage, ils avaient chacun leur semaine… la sienne arrivait a son terme, mais non, voyons, on allait pas le laisser tranquille ! Tant pis… il sortit de la douche légèrement plus réveillé qu’en y entrant, s’habilla en vitesse malgré le fait qu’il marchait au radar, et ne réveilla même pas la fille qui cocoonait dans son lit: de toute manière, demain, elle serait de l’histoire ancienne. Un café plus tard, il fermait derrière lui la porte de son appart’ pour s’engouffrer dans les rues de la ville. Los Angeles by night, un pur délice…

Il fut arrivé sur les lieux du crime a temps… mais apparemment, c’était un simple petit problème d’il ne savait pas encore quoi. Pas d’accrochage, du moins, il semblait, et d’après les dires du mec qui venait a sa rencontre, et qui disait l’avoir appelé, ils avaient poussés à temps la voiture sur le côté pour ne générer aucun problème. Soit, allons regarder ça. Il s’empara de sa caisse a outil, et suivit le jeune homme vers la voiture, une Cadillac SRX noire, dont le capo était déjà ouvert. Un autre garçon essayait apparemment de se la jouer puisqu’il mettait les mains un peu partout comme si ça allait changer quelque chose, ce qui fit bien sourire Clyde. Plus il s’approchait, plus il voyait distinctement se dessiner une silhouette blonde adossée à la voiture. Le regard tourné vers l’apprenti mécanicien sûrement plus doué avec un manche a balais qu’une clé a molette, elle lui lança une réplique qui ne tarda pas a le faire reculer, sous les rires amusés de ses amis environnants. Mais ça, Clyde n’en avait rien a faire. La fille, par contre…


« Tu n’as vraiment rien retenu a s’que je vois… »

Il posa sa caisse a outils juste a ses pieds, remontant son regard sur elle avec cet irrémédiable sourire collées aux lèvres. Brandee… il aurait pu la reconnaître entre mille. Ca aurait pu, être mille, mais ça avait été elle. Le destin est parfois cruel… ouais, parfois…

« Alors le cours continu ! D’une: n’oublie pas de rester loin de moi, de deux… qu’est ce qui c’est passé ?! »

Il lui lança un regard amusé, avant de venir tatillonner le moteur. Regardant a droite a gauche, en attendant la réponse qui éclairerait peut être ses lanternes, a la recherche de la panne pour laquelle il avait été dérangé en pleine nuit.


Dernière édition par Clyde Sven Henderson le Dim 16 Aoû - 16:30, édité 1 fois
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Brandee Kay Sullivan
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MessageSujet: Re: Where the streets have no name || Brandee(chou)   Where the streets have no name || Brandee(chou) EmptyVen 14 Aoû - 21:49

Where the streets have no name || Brandee(chou) 1zgt7ab
I felt it, the wire touched my neck
And then someone pulled it tighter
I never saw it coming, I started to black out
And then someone said good morning
I took it as a warning
I should have seen it coming


Habituellement à cette heure-ci, je suis profondément en train de dormir. J’adore, et je tiens à avoir mes heures de sommeil. Sinon je deviens … toute gentille et il est hors de question que ce jour arrive ! Seulement dans mes pires cauchemars. Quand je suis gentille, je me laisse marcher sur les pieds au lieu de frapper tous ceux qui se trouvent dans mon chemin. Malheureusement, aujourd’hui je suis prise ici, sur le bord de la rue à attendre qu’un mécanicien ose se pointer. Le comment du pourquoi ? Laissez-moi vous expliquer avec plaisir. Tout a commencé par un couple d’amoureux, vous savez le genre que dès qu’ils sont ensemble, ils ne peuvent cesser de s’embrasser ? Et bien je les avais dans mon chemin pour revenir à mon appartement vers 10 heures du soir. Ils me donnaient envie de vomir avec leur « Je t’aime », « Non je t’aime encore plus ». Foutez-nous la paix ! De toute façon, les risques qu’ils te trompent ou qu’il te laisse tomber sont énormes dans cette ville. Il n’a qu’à tourner les yeux et il en verra une bien meilleure que toi ! Après tout, beaucoup sont ceux qui préfèrent une fille muette ! Beaucoup moins de trouble lorsque les fêtes arrivent et que par malchance ils les ont oubliés. Moi, je me fiche bien de recevoir une rose ou non. Je n’espère même pas en recevoir de toute façon. Grâce à ce super couple, lorsque je suis aller à la station service, tout simplement pour remplir mon réservoir, le jeune homme était tellement occupé à regarder le couple, il venait certainement de rompre avec sa copine et la vue d’un couple lui rappelait les bons moments passés avec sa chérie qui en ce moment même, doit s’envoyer en l’air. Il a donc mal compris que mon réservoir n’en était pas un d’essence, mais bien d’huile végétale et que j’avais besoin d’un entonnoir pour pouvoir les transvider dans mon auto. À la place, il mit de l’essence, ce que bien sûr je ne remarqua pas, puisque j’étais trop occupée à engueuler le fameux couple d’avoir lancer une bouteille de plastique vide et de ne pas la recycler. Ce que le monde peut être idiot par moment. Quelques minutes plus tard, et une nouvelle poubelle de renverser sur la tête de quelqu’un, je repartis dans mon véhicule, ne remarquant rien pour le moment.

Encore une fois, je n’aurais jamais du m’arrêter puisque je me suis retrouver dans le foutu trafic du soir qu’il peut y avoir par moment. Comme si tous le monde avait décidé de sortir en même temps pour se rendre dans ces foutu club où ils pourront danser et boire jusqu’à n’en plus finir. C’est loin d’être pour moi cela, sauf si j’ai envie de rire du monde pathétique qui s’y trouve ! Un trafic à n’en plus finir, des heures et des heures de plaisir à essayer tout simplement de rentrer chez soi et dormir ainsi dans son lit beaucoup trop petit, et pas assez confortable mais étant tout ce que cette personne pouvait se payer en ce moment puisque personne n’était assez intelligent pour comprendre qu’elle était la meilleure journaliste. Je crois que l’essence, que je ne savais pas encore mise dans mon véhicule, me monta à la tête, puisque je décida de prendre un raccourci, chose que je ne fait jamais et voilà. Ce qui devait arriver, arriva. Mon auto tomba en panne, loin de tout, et de tout ce que je connaissais. Ce n’est qu’une heure plus tard, après avoir pris conscience que la batterie de mon cellulaire était à terre qu’un homme s’avança vers moi, croyant que j’étais en détresse et m’offrit mon aide. S’il croit que je vais le remercier en nature, il se trompe à mon sujet ! Il appela un mécanicien et vers les trois heures trente, ou bien quarante je ne sais plus trop, il se pointa finalement !

Juste à sa démarche je pouvais le reconnaître. Parmi tout les mécaniciens que cette ville pouvait compter, il fallait que j’ai la malchance de tomber sur lui. Il s’approcha avec son sourire aussi démoniaque que la première fois que je l’ai rencontré. Il est le démon en personne, il me donne des envies de tuer parfois ! Une petite réplique et déjà, le feu était déclenché. Il éveillait quelque chose en moi que je ne saurais décrire. J’avais beau le détester, quelque chose en lui m’attirait. Plus il me parlait, plus j’avais simplement envie de lui répondre parce que … tout simplement parce que j’avais envie de lui répondre. Jamais auparavant cela ne m’est arrivé. Ce n’est jamais bon signe. C’est certainement pour cela qu’il me donne des envies de tuer. Puisque j’essai de contrôler mes envies quand je suis avec lui.

- Que veux-tu, je ne peux te résister. Je ne peux me tenir loin de toi, tu me manquais trop !

Le sourire aux lèvres pour le moquer, il me demanda ce qui se passait avec ma voiture. Maintenant, bien sûr, je sais que mon auto à été remplie d’essence, pour la simple et bonne raison qu’en fouillant dans mon coffre pour y trouver quelque chose d’utile, j’ai trouvé les deux barils d’huile végétale, remplie. Il ne m’en a pas fallu beaucoup pour comprendre ce qui était arrivée ! Mais, c’était déjà trop tard pour arranger quoi que ce soit de toute façon.

- Tu me déçois, je croyais que tu étais le meilleur et que tu aurais pu tout deviner !

Lui avais-je répondu, le voyant se promener de gauche à droite à la recherche de la raison pour laquelle il s’était réveillé durant la nuit pour venir l’aider. Elle se leva du capot où elle s’était installé pour patienter, et se dirigea vers lui, lui montrant l’avant du véhicule. Il faut tout leur montrer, même aux experts quoi !

- Un idiot à rempli mon auto d’essence.

Juste à y repenser, le sourire forcé s’estompait de mes lèvres pour laisser apparaître ma si connue air de femme enragée. Une si belle soirée qui vire en un total cauchemar. Réveillez-moi quelqu’un !
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MessageSujet: Re: Where the streets have no name || Brandee(chou)   Where the streets have no name || Brandee(chou) EmptyDim 16 Aoû - 16:25

Ça aurait pu être n’importe qui. La population de Los Angeles se compte a 10 179 716 d’habitants, en partant du principe que les un quart son des femmes, alors 3 393 237 autres femmes auraient pu avoir cette panne. Mais non… il avait fallut que ce soit la 3 393 238ème. Une blonde majestueusement diabolique prénommée Brandee, qu’il connaissait déjà trop. Ce n’était pas pourtant le temps qu’ils avaient passés ensembles… quelques minutes, alors qu’il était allongé dans l’herbe, et les quelques heures qu’ils avaient passés dans son garage pour des cours qui, bizarrement, semblaient lui avoir servit ! Elle avait été sa meilleure élève dans cette classe, larguant loin derrière les membres de la gente masculine verts de ne pas lui arriver a la cheville. Et en toute franchise, vu ce qu’ils s’envoyaient, ça aurait du en rester là. Mais, en toute honnêteté cette fois ci, il ne pouvait pas, faire que ça en reste là. Brandee, c’est la fille chiante par excellence, je sais tout, je peux tout faire, je sais tout faire, je suis parfaite, j’emmerde le monde, personne ne m’aime, tant mieux je n’aime personne… un vrai cauchemar ! Mais bordel, qu’est- ce qu’elle est intéressante ! Ou alors c’est Clyde, qui a un problème… a vous de choisir: lui, il s’en contre fout.

Il pouvait avoir toute les femmes qu’il voulait. Le preuve, il n’était pas seul en se réveillant une petite heure plus tôt, alors non, ce n’était pas un problème. Mais Brandee n’était pas une femme qu’il voulait, tout simplement. Le vouloir n’a pas son mot a dire là dedans. C’est physique, chimique, incontrôlable. Comme une envie de cigarette après une longue journée. On sait que ça nous bouffe la santé, mais on peut pas faire autrement. Et puis, elle, au moins, ne tombait pas dans ses bras au premier sourire un peu appuyé. Elle savait le remettre a sa place, alors non, ça ne jouait pas en sa faveur, mais ça donnait du punch a une relation des plus banale. Si par relation on peut qualifié tout ça, bien sure. Parce qu’il ne se voyait pas finir comme l’un des couples qui avait dérangé la blonde, ça, jamais. Le genre de truc chiant a mourir, baveux a tout les coins de rue, sans aucune passion, juste un semblant de peur quant on a pas reçu son message de la matinée. Non mais franchement, qui peut être exalté par une relation pareil ?! Si jamais Clyde devient comme ça un jour, s’il vous plait, tuer le. Roulez lui dessus, flinguez le, je vous donne tout les droits ! Mais jamais, jamais je ne veux le voir ainsi. Même pour elle. Surtout, pour elle.

Les choses allaient très vite. Comme a chaque fois. A peine une phrase, et la machine infernale était en route. Après tout, il l’avait bien cherché. Mais sinon, ça aurait voulu dire qu’elle gagnait, même si aucun jeu n’avait été établi. Le jeune homme qui l’avait conduit a la voiture et appelé semblait trouvé drôle la situation, étant donné le gloussement idiot qu’il avait poussé a la réplique de la jeune femme. Lentement, Clyde avait posé un regard dédaigneux sur lui, et bizarrement… il arrêta de rire.


« Vous avez entendu la dame ? Je lui manquais trop, c’est-à-dire qu’on a besoin d’air !… aller, virez de là, vous me faite de l’ombre. »

Ouais, ce genre de petit mec lui était insupportable, alors autant les virez tout de suite, au risque de l’énerver. Et l’intonation de sa voix ne laissait présager aucune plaisanterie. Conséquence bénéfique, il échangea quelques mots que Clyde ne chercha même pas a entendre avant de partir aussi sec. Il resta quelques instants sous le capot avant qu’elle ne lui réponde, mais malgré sa réponse, il ne bougea pas. Mais son sourire, lui, vint s’élargir aux coins de ses lèvres.

« Au moins tu as le mérite de croire que j’étais le meilleur: et a mon avis, t’étais pas si loin ! »

Il fit une courte pause, sans même ajouter un son, reprenant le sérieux qu’il avait dans le travail. Oui, il avait vu et a peu prêt compris le problème avant même qu’elle le dise. Pourtant, il avait préférer demander quelques indications, au cas où il aurait loupé quelque chose: consciencieux jusqu’au bout !

« Il va falloir pomper ton réservoir, mais à la limite, ça c’est rien: même toi tu aurais pu le faire. Viens par là !… ce qui m’embête, c’est que ta durite gaz, ici, à pas vraiment aimé le petit changement de programme… elle a surchauffé, et peut être endommagé la culasse… j’ai pas franchement envie de te voir conduire si le joint est pété: ça pourrait faire pas mal de dégâts. »

Étrangement, et elle avait malgré tout du le remarqué, il n’était pas le même lorsqu’il parlait mécanique. En plus d’être passionné par ce qu’il fait, Clyde a la particularité de prendre vraiment a cœur ce qui est mit entre ses mains, peu importe a qui ça appartient. Là, en l’occurrence… non, en plus, il avait pas vraiment envie qu’elle s’abîme, elle, en plus de sa voiture.
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Brandee Kay Sullivan
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MessageSujet: Re: Where the streets have no name || Brandee(chou)   Where the streets have no name || Brandee(chou) EmptyDim 16 Aoû - 23:17

On m’a souvent dit que tout devait tourner autour de moi. Ça a prit du temps avant que je comprenne la raison, après tout, je fais du bénévolat, je défends des causes, alors comment est-ce possible que je sois quelqu’un dont tout tourne autour. Mon père dit que c’est parce que je suis trop concentré dans ce que je fais que j’en oublie ce qui peut y avoir autour de moi, et surtout les sentiments des autres. Pour lui, c’était sa façon de me dire que j’étais normale. Chose qui pour moi est insensé. Je ne veux pas être comme les autres, je ne veux pas me fondre dans la masse à répéter le même mouvement que les autres. Impossible, être une de ses foutu poupée Barbie qui attend son Ken, mais qui finalement ne fait que rompre et reprendre avec lui. L’amour ce n’est pas pour moi, impossible. Je refuse catégoriquement de me laisser avoir dans ses supercheries. Mais encore là, quand je croyais savoir quelque chose, je me rendais compte que je ne savais rien. Lui, il avait le don de me faire enrager. Il croyait me connaître juste à me regarder, et pourtant je devais toujours prouver qu’il se trompait. Je devais prouver à tout le monde que j’étais capable de faire tout ce que je voulais, que les femmes pouvaient faire ce que les hommes faisaient. Vous pouvez me dire que je suis bornée aussi, cela peut éviter de nombreuses conversations à vrai dire !

Jamais, au grand jamais je n’ai été une femme à homme. Je n’étais pas celle qui se faisait courir après, je n’étais pas celle que les hommes retrouvaient à leur côté après une soirée un peu trop arrosé. J’ai toujours été la bonne fille qui ne couchaient pas avec n’importe qui et qui préféraient lire des livres révolutionnaires avant de se coucher le soir. Alors pourquoi est-ce qu’en sa présence, j’avais toujours envie de plus. Ce n’était pas autant ce qu’il sentait, ce dont il avait l’air, mais plutôt ce qu’il dégageait. Il avait une telle confiance en lui, presque aussi grande que celle que je pouvais bien avoir en moi. La dernière fois qu’on s’était vu, il m’avait demandé de garder mes distances, à ce qui parait, je suis un peu trop dangereuse, je ne vois pas pour quel raison il dit cela, je suis une innocente fille, … ouais bah je peux quand même rêver ! C’est pas parce que tout le monde à peur de moi que je me dois de rester enfermer dans mon petit appartement miteux à longueur de journée. Non merci, je préfère passer mon tour cette fois-ci ! D’accord, je lui ai rentré quelque chose dans le pied, grosse histoire ! Il a encore son orteil à ce que je sache, et je me suis déjà excuser. Chose, que je ne fais que très rarement, alors pourquoi, mais pourquoi foutu seigneur, me mets tu toujours sur son chemin ! Je crois pas en toi, et maintenant, tu viens de me rappeler encore une fois pourquoi !

Il vient à peine d’arriver, même pas 5 minutes et voilà qu’il commence déjà à faire partir le monde en courant. Je crois que c’est son record, un mot et bang, les voilà partit en courant. Pas aussi douée que moi, mais je suis une fille ! T’as qu’a mentionner que t’es dans ton temps du mois et ils sont partis aussi vite qu’ils sont arrivés ! Ou dans mon cas, je n’ai qu’à faire mon regard qui tue et ça fait le travail ! Ce soir, j’avais tellement envie de rentrer chez moi que j’aurais pu étrangler tout ce qui venait sur mon passage, et même si pour cela, je devais abimer le joli coup de ce cher Clyde. Un homme de partit et voilà que je me retrouvais seule avec lui. Bonne chance aux habitants du quartier pour le vacarme qui allait certainement arriver !

- Onhh, tu as peur de me partager. Que c’est mignon. Je t’ai manqué aussi vu que tu veux tant te retrouver seul avec moi !

Un beau gros sourire était apparu sur mes lèvres, ironique, que voulez-vous c’est ainsi que je fonctionne. Il l’avait très rapidement compris de toute façon. Lui et moi, ces mots existaient, mais nous, aucunement, et jamais il n’existerait. Il n’était pas question que je me permette de le laisser m’avoir. Il avait déjà une emprise que je devais m’efforcer de combattre, que jamais je ne descendrais aussi bas … Je devais me le promettre sinon aussi bien me faire tirer dessus alors que je vais simplement mettre de l’essence, vous savez comme dans les émissions plates de la télé ! Quoi, ma sœur les écoute !

Un petit commentaire passé, et le voilà qui me disait que je pensais qu’il était le meilleur. Il était doué pour prendre un mot et l’utiliser à son avantage. Il devrait faire attention avec son surplus de confiance, un beau jour sa tête serait si grande qu’elle ne passerait même plus dans la porte de son garage, qui pourtant est si grande ! Et il pourrait tomber de si haut et se faire si mal. Les filles de Los Angeles serait alors encore une fois toute à ses pied pour éviter qu’il ait la moindre blessure. Moi ? Je serais certainement là à le regarder en train de rire. Après tout, je n’aurais rien à voir avec ça !

- Ouais, bah t’es plutôt le seul à Los Angeles qui coûtent pas des milliers, alors je me laisserais pas flatter par ça !

Quelques secondes et puis BANG, Clyde le mécanicien était de retour. Ou le robot comme je l’appelais par moment, il parlait sur un tel ton, un débit parfait qui avait ses temps de pauses, ses virgules parfaite, un ton qui se suivait. Les mécaniciens avait l’habitude de dire des gros mots, d’utiliser des termes épais, comme eux l’était bien sûr, mais lui, même en parlant de truc qui ne me passionnaient pas, même si j’avais suivi des cours, il restait un mec avec classe. Ce que je pouvais le détester pour comment il me faisait sentir en sa présence. Dégâts, simplement ce mot me ramenait sur la terre, je n’avais pas l’argent de réparer, et même de m’acheter une nouvelle voiture. Celle-ci, je l’avais depuis la fin de mon lycée, vous voyez un peu le genre !

- Il se préoccupe de mon bien-être, mais t’es vraiment l’homme parfait dit ! Plus sérieusement, je fais quoi maintenant ? Tu peux l’arranger ou non ? Simple comme question, même toi tu devrais être capable d’y répondre !

Ai-je mentionné qu’il était tard et que plus je devenais fatigué, plus je devenais bête ? Et bien maintenant vous le savez. S’il me disait qu’il pouvait la réparer, rendu à ce point je crois que je pourrais bien lui sauter dans les bras, même s’il me dirait encore une fois que je suis accro à lui et que je ne peux me passer de son corps. Ce qui, je tiens à le mentionner, est totalement faux ! Je ne suis pas accro à lui, c’est simplement qu’on se croise … souvent !
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MessageSujet: Re: Where the streets have no name || Brandee(chou)   Where the streets have no name || Brandee(chou) EmptyVen 21 Aoû - 9:54

Il ne se comprenait pas. Non, sérieusement, en la présence de Brandee, et bien qu’il soit de nature réellement arrogante avec tout ce que ça comporte… avec elle, il était encore pire. Ne demandez pas pourquoi, la réponse ne serait pour une fois pas franche. Parce qu’il était plus simple de se voiler la face, mais cette fille, il l’aimait bien. Alors même si elle lui tapait complètement sur le système avec ses réponses a tout, son air détaché et ses répliques tranchantes… il ne pourrait pas s’en passer. Pour le moment, le destin avait joué en la faveur de Clyde, même si, encore une fois, il ne l’avouerait pas. Il n’avait jamais eu a provoquer les choses pour avoir a la voir. Espérons que les choses soient aussi simples dans le futur. En cas contraire, il allait avoir du mal a avoir sa dose mensuel de ce sentiment incompréhensible, intense, malsain, mais tellement bon… ouais, ça allait être autre chose, si jamais la chance arrêtait de lui sourire. Mais dans le fond, peut être était elle dans le même cas ? Enfin, pour le savoir, encore faudrait il qu’il admette quelque chose. Et encore une fois… on est bien loin du compte.

Quant au partage… il n’avait pas encore eu la chance de la croiser en d’autre circonstance, encore moins accompagnée. Mais si ça avait été le cas, il ne se serait a mon humble avis pas gêné pour lui ruiner la soirée, quitte a y sacrifier la sienne. Dans ce genre de petit jeu là, il se trouve que Clyde pouvait se montrer étonnement habile ! Mais de toute manière, elle était loin d’être sienne. Quand bien même il pourrait y avoir quelque chose entre eux, il n’était sûrement pas de ces hommes qui supposent une appartenance. La jalousie a ses grandes limites, c’est peut être aussi pour cette raison qu’il n’est pas un adepte des relations sentimentales: parce que la plupart des femmes aiment malgré tout sentir qu’elles comptent, et qu’il est tellement peu sur leur dos que ces dames ont une impression de ne pas compter qui leur vient d’on ne sait où. Alors oui, sa réplique le fit doucement rire, comme bien souvent. Et puis le ton qu’elle utilisait, Clyde supposait qu’elle prenait vraiment toute ses précautions pour l’envoyer le mieux possible sur les roses. Si elle savait comme il aimait ça ! Un peu braj, ouais, sur les bords…


« Peur de quoi : d’un ignorant qui c’est sûrement mangé une baie vitrée a pleine vitesse avant de se déclarer chevalier servant de service ? Tu te fous de moi ?! Quant à m’avoir manqué, ça voudrait dire que je t’ai accordé un minimum de temps, au pire juste une pensé… et tu veux savoir comment je pense a toi ?!… »

Il fit un pas vers elle, se rapprochant avec cet inconditionnel sourire qu’il savait plus que pervers, surtout lorsqu’il plissait légèrement les yeux pour regarder son interlocutrice, comme il le faisait avec Brandee. Dés les premiers instants de ce qu’il y avait entre eux, lorsqu’il avait jeté un papier a terre et qu’elle l’avait limite tué du regard pour ne pas l’avoir ramassé, il avait admis qu’elle avait un physique agréable. A haute voix, j’entends, puisqu’il l’avait invitée a se pencher de nouveau. C’est très bête, typiquement masculin, limite macho, mais personne n’est parfait, encore moins Clyde !

Pourtant, elle toucha un point sensible a la réplique suivante. Et même s’il n’en montra rien, puisqu’il était plus que douer également pour ce genre de chose, le fait qu’on remette en cause son travail… là, ça coinçait. Il avait toujours été assez bon élève, mettant un pied de nez énorme a ceux qui pensait ne jamais le voir sortir de sa cité. Il avait obtenu une bourse d’étude, fait un an de commerce a la fac, mais… a quoi bon se lancer dans quelque chose qu’on aime pas ? Il n’était résolument pas comme tout ces gosses de familles plus ou moins friquée, qui n’attendaient que la gloire et la retraire du patriarche pour reprendre la suite de l’entreprise familiale. Lui était parti de rien, et n’attendait rien de ces gens là. Alors elle pourrait dire n’importe quoi… mais dans le fond, il était persuader d’être plus que l’un des mécano les mois cher du marché.


« Que veux tu, je suis bien l’un des seuls a ne pas vouloir ruiner mes clients dans cette ville. D’ailleurs, ça m’étonne un peu qu’une petite gosse de riche comme toi porte un quelconque intérêt a un mécano de bas quartier… après tout, tu pourrais te payer n’importe lequel, alors je suis ptete pas si mauvais que ça ! »

C’était fourbe, pas forcément sympa, mais elle l’avait cherché, il n’allait surtout pas rester sans riposter. Elle osait s’aventurer sur des terrains en pente, il n’allait surtout pas lui laisser la joie de la descente. Mais pour le moment, ce qui l’intéressait le plus, et c’était d’ailleurs le pourquoi de son rapprochement vers la jeune femme, était sa voiture. Il se pencha a ses pieds pour prendre sa caisse a outil et en sortir une clé, ainsi qu’un chiffon, remettant aussitôt la tête sous le capot.


« Je peux essayer, je promets rien, mais je peux… »

La plaisanterie n’avait pas été relevée, il était déjà ailleurs, entre la roue droite et la gauche, niveau moteur. C’est fou comme il était déconnecté en plein travail, consciencieux a l’excès. Mais au moins, s’il avait quelque chose a faire, il le faisait bien. Dans ce cas, on ne pouvait pas lui faire de reproche. Mais se rendant compte qu’il délaissait complètement la jeune femme a une heure tardive de la nuit, en pleine rue, par une fraîche nuit d’été… aller, accordons tout de même une attention a la petite blonde !

« Tu sais, c’est bien mignon d’avoir changé ton moteur et fais ton grand numéro, mais t’as loupé plusieurs cours par la suite… ça aurait pu te servir, mademoiselle j’arrive même pas a remarquer que mon moteur a un problème… »

Bah quoi ?! Une attention, certes, mais j’ai pas dit qu’il devait être courtois ! Surtout lorsque son regard était toujours pencher vers la voiture, la moitié de son corps au dessus de celle-ci, et que sa voix était presque cachée par sa position.

[Un grand désolé pour le retard]
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